Pour rendre hommage à ce pays: le Maroc, dans lequel j'ai vécu entre 1976 et 1982 et qui m'a profondément touchée
Pour y être retournée plusieurs fois ces deux dernières années, avec autant de plaisir
Pour couronner ces deux expositions successives sur ce même pays
J'ai senti le besoin d'en faire encore plus pour ce peuple.
C'est pourquoi, prochainement, paraîtra sur ce site, le livre que je leur destine, un combiné de photos et de poésies dont je vous cacherais, pour l'instant le titre mais dont je vous livre, en avant-première, cette page.
Michèle Simond
On se voit mieux soit même avec les yeux des autres.... et c'est une grande force
C'est au plus profond des yeux de ces femmes Marocaines où transparaissent tout à la fois: fierté, douceur, complicité, charme, amour, coquetterie, âpreté de l'existence et courroux parfois..... que je vous propose d'y plonger les vôtres
voyage des yeux
Michèle Simond
Au delà des différences, des frontières et des croyances....
l'essentiel demeure avant tout "le partage des regards"
C'est ce partage que je vous propose à ma prochaine expo:
L'Au delà des regards
expo qui se tiendra à Davézieux (en Ardèche) les 27 et 28 mars 2010, dans le cadre du 4ème forum du "Printemps de l'image et de la photo"
alors, à bientôt…
Michèle Simond
Pour ceux et celles qui souhaitent revoir ou qui n'ont pas profité de ma dernière exposition à Coublevie, il vous est donné la possibilité de faire le voyage des yeux de :"Humilité et beauté intérieure", dans le cadre du 6ème forum de la photo de Caluire, en compagnie d'autres amis passionés, comme moi, par les êtres, la lumière et les couleurs
Dans le cadre des 21èmes rencontres photographiques internationales du pays Voironais, qui se tiendront du 1er au 30 juin 2009, Michèle Simond, présente, dans nos locaux :
« L’Humilité et la beauté intérieure de l’être » :
Un thème qui lui est cher et que sa passion de la photographie vise à partager avec nous, à travers des portraits (essentiellement de femmes et d’enfants) et des scènes de vie, le tout rehaussé de couleur et de lumière, et avec le témoin que nous sommes tous d’un monde en pleine mutation.
Ces êtres, vivant dans l’Atlas Marocain, nous rappellent que, dans un passé récent, ici, dans notre pays, nous vivions aussi les durs labeurs de la vie au quotidien pour survivre.
Dans une époque de remises en question, où le stress de la vie moderne est si présent, leurs regards et leurs sourires nous enseignent qu’il y a toujours de l’espoir et que nos vrais valeurs d’humanité sont toujours en nous.
« Au temps où la terre était plate et Jérusalem le centre du monde, vivait un garçon qui avait pour nom : Ibn Battuta
Il habitait tout au bord de la terre, près des bords de la mer ténébreuse.
A l’ouest la nuit s’étendait à l’infini tandis qu’à l’est se trouvait un monde merveilleux qu’il rêvait de traverser.
Du doigt il suivait sur des cartes les routes écarlates qui conduisaient vers des étoiles vermillon symbolisant les grandes villes du monde.
Pendant les chaudes après-midi d’été il sillonnait des mers couleur de paon à bord d’un bateau imaginaire qui le menait jusqu’à l’extrémité orientale de la terre.
D’où il s’élançait courageusement sur les mers inconnues. »
Au bord du monde – James Rumford
Sur les sentiers de ses rêves où il ne s’est enrichi ni de pièces d’or ni de pierres précieuses mais de ce qui fait la richesse du voyageur, votre regard vous emportera vers ce qui est l’essentiel : le cœur d’un pays et de ses habitants. De portraits en paysages, avec leurs ombres et leurs lumières, fenêtres sur le monde, aux portes de nos certitudes, vous découvrirez un pays que l’on croit connaître et qui nous réserve toujours des horizons nouveaux.
Au pays des matins de soleil et des soirs qui font le Haut Atlas bleuté et auréolé de rose, les images vous feront oublier un temps, notre monde global qui tend à laminer l’originalité des cultures et des modes de vie et renouer avec ce merveilleux qui demeure en chacun de nous quelque soit la quête qui nous anime.
La récompense du Voyageur (texte de Philippe Poupard)